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Des livres utiles

 
 
Jacqueline BRAILLON, Gerco 1, Présidente d'honneur du Gerco
   
"Pains, peurs, tenures anciennes"
"Facettes de la vie de nos ancêtres de Côte d'Or"
 

Vous pouvez adresser vos commandes :

M. Jean-Claude FORTMANN 178 rue du lion  27210 BEUZEVILLE

tél: 02.77.18.16.55

7 euros le tome
tome 1 tome 2
tome 3 tome 4
tome 5 tome 6
tome 7
Gewa THOQUET, Gerco 82
Michel de Montaigne ne s’écriait-il pas au XVIe siècle « Quel contentement me serait-ce d’ouïr quelqu’un qui me récitât les mœurs, le visage, la contenance, les plus communes paroles et les fortunes de mes ancêtres » ? Les trois ouvrages qui suivent, s’accordant d’une certaine manière au désir qu’il exprima, peuvent apporter au lecteur un peu de ce contentement en voyant vivre « nos » aïeuls dans les temps reculés.

La vie dans un village du Morvan

d'après les écrits de l'époque

Arleuf de 1625 1725

Ce livre a été récompensé en 2009 par une mention dans le cadre du prix littéraire de la Fédération Française de Généalogie

La généalogie attire depuis plus de trente ans de plus en plus de personnes en France. Après avoir pu trouver les dates clés de ses ancêtres, le généalogiste familial aimerait en connaître davantage sur ce qu’ils ont vécu. La monographie La vie dans un village du Morvan, écrite par Gewa THOQUET, peut l’aider dans cette démarche. En effet, elle s’est attachée faire sortir de l’oubli 100 ans de la vie des villageois de la paroisse d’Arleuf et de sa trentaine de hameaux entre 1625 et 1725. Au plus fort, on décomptait 230 chefs de familles dans ce village qui se situe l’écart des villes, Château-Chinon tant 8 km et Autun 30 km, et qui paraît, de ce fait, tout fait représentatif de la vie que les gens simples pouvaient mener àl’époque.

livre Gewa

Pour cerner la vie des habitants d’Arleuf, Gewa THOQUET a d’abord relevé systématiquement tous les actes qui parlent d'Arleuf que ce soit les minutes de notaires, les visites pastorales, registres paroissiaux, fonds de justice et fiscaux ou autres écrits inventoriés aux Archives Départementales de la Nièvre et de la Saône-et-Loire. Ainsi a-t-elle transcrit plus de 500 actes mot mot et pour 500 autres a-t-elle proposé un bref résumé.

Le livre, structuré autour de ces documents, s'en tient aux faits historiques qu'il relate. Afin de coller encore plus la réalité de l’époque, et faire entrevoir au lecteur du 21e sicle des pans authentiques de la vie des villageois, l’auteur a souvent écit des phrases entières des documents consultés qui nous véhiculent ainsi l’air du temps.

De ce fait, ce livre ne s’adresse pas uniquement ceux qui s’intéressent spécifiquement à Arleuf, mais toute personne qui cherche savoir comment le petit peuple pouvait vivre au 17e sicle dans nos campagnes.

Contenu:

- I La vie sociale au village

Du berceau la tombe / Heurs et malheurs / Les cabarets d’Arleuf / Querelles et réconciliations / Devant le juge / La condition des femmes / L’œuvre de chair ne feras… / Trois destins : Pierre Boisot est un sot – Les Bureau de père en fils – Jean Poutenet, maçon du Pays de la Marche

- II Les premières nécessités : se loger, nourrir et vétir

- III Le Travail

L’apprentissage / L’agriculture / Le bois de chauffage pour la Ville de Paris / La diversité des métiers Arleuf

-IV L’omni présence des pouvoirs

Le pouvoir spirituel : L’église St Pierre et ses desservants / Le poids du pouvoir temporel : La fiscalité / Les guerres / Les seigneurs de La Tournelle / L’emprise du servage

Livre broché (310 pages, 6 cartes, 23 illustrations) paru chez l’auteur au prix de 26,00€ + frais d’envoi
Pour l'adresse, voyez sur son site "Les chemins du passé" à l'adresse: www.lescheminsdupasse.fr

La vie des villageois au XVIIIe siècle 

d'après les écrits de l'époque

Ainsi vivaient nos ancêtres en Côte d'Or

livre Gewa

Comment vivaient nos ancêtres villageois au XVIIIe siècle ? Pour le savoir, notre adhérente Gewa Thoquet est allée aux sources mêmes de leur vie quotidienne dont elle a trouvé la trace dans les minutes des actes des notaires, les visites pastorales, les registres paroissiaux, les archives de justice, registres fiscaux et autres documents conservés aux Archives départementales et Archives municipales. Près de 2500 pages manuscrites sont à la base de cette étude dont les transcriptions viennent naturellement prendre place dans le texte pour donner vie au récit. On découvre ainsi, pas à pas, tous les aspects de la vie des villageois au dernier siècle de l’Ancien Régime. Les réalités concrètes, souvent méconnues, parfois insolites, de la vie ordinaire de nos ancêtres se déroulent comme un documentaire. Le passé réaliste des villageois, non édulcoré par des reprises de livres postérieurs, va ravir le lecteur.

Ce livre devrait faire le bonheur des généalogistes et historiens en quête de toujours plus d’informations sur la vie authentique de nos ancêtres villageois qui nous est révélée aujourd’hui grâce aux écrits de l’époque.

Gewa, en nous restituant la vie colorée des villageois du XVIIIe siècle, leur rend un hommage appuyé et nous ouvre les portes d’un monde oublié comme ce fut déjà la cas dans son livre « La vie dans un village du Morvan d’après les écrits de l’époque, Arleuf de 1625 à 1725 »

SOMMAIRE

I - L’individu

Du berceau à la tombe / L'habitation et les effets mobiliers / La nourriture / Les vêtements ou le triomphe de la couleur / L’instruction / La santé

 II - La vie à l’intérieur et à l’extérieur du village

La communauté villageoise / Jurons, querelles et bagarres / L’agriculture / L’église au cœur du village / Le village mainmortable / Les pauvres, mendiants et vagabonds

 III - Les villageois face au pouvoir royal

La fiscalité / Le système monétaire / Le maintien de l’ordre / L’armée / La milice provinciale / La corvée des routes

Livre broché, 305 pages, 55 illustrations, 29 € + frais d'envoi

Pour l'adresse, voyez sur son site "Les chemins du passé" à l'adresse: www.lescheminsdupasse.fr

La vie des villageois au XIXe siècle 

à travers l’exemple de Saclas,
une commune de la Beauce

La Fédération Française de Généalogie a décerné en 2017 son prix littéraire Gaston Sagot à cette étude

livre Gewa

Le dernier tome de la trilogie « La vie de nos ancêtres villageois » clôt la série commencée par l’évocation de la vie à la campagne au XVIIe siècle à Arleuf dans le Morvan et celle au XVIIIe siècle en Bourgogne dans le Semurois. Basé sur l’analyse des écrits de l’époque relevés dans les archives, donc à la source même, l’ouvrage propose une immersion dans le XIXe siècle.

 
Pas loin de 3000 pages manuscrites, dont les transcriptions  véhiculant l’air du temps, viennent naturellement prendre place dans le récit, se trouvent à la base de cette étude. Les points forts et les bouleversements que cette période a apporté à nos ancêtres villageois y sont mis en exergue.

La vie quotidienne comme elle s’est déroulée à Saclas reflète les réalités vécues par l’ensemble des Français. La vie des femmes, la vie des hommes face à la conscription et aux guerres, l’école pour tous et le travail des enfants ainsi que les distractions des villageois sont parmi les sujets étudiés dans ce livre.

Gewa Thoquet vous offre à travers son étude historique les clefs pour mieux comprendre la vie que menaient nos aïeux au XIXe siècle.

SOMMAIRE

I – Les quatre piliers du village

Les maires / Les curés / Le corps médical / Les instituteurs et institutrices

II – La vie au village

Les femmes / Les loisirs / La mobilité / La corvée sur les chemins vicinaux / Trois destins : Louis Maucibot - Julien Nicolas Diet - Claude Joseph Vuillaume

III – Le monde du travail

L’agriculture / Les artisans / Le commerce / L’industrie / L’auberge, les cabarets et autres lieux de réunions

IV – En temps de paix, en temps de guerre

Le maintien de l’ordre / La Garde nationale / La conscription / Les sapeurs pompiers /    Les guerres napoléoniennes et  la guerre franco-allemande

Livre broché (307 pages, 7 cartes, 74 illustrations) paru chez l’auteur au prix de 29,00€ + frais d’envoi

Pour l'adresse, voyez sur son site "Les chemins du passé" à l'adresse: www.lescheminsdupasse.fr

ISBN n° 978-2-9528530-2-6

François RAYMOND, Gerco 641
Courcelles-les-Montbard: Fragments d'histoire d'un village de l'Auxois

L’AUTEUR
François RAYMOND est tout à la fois bourguignon et franc-comtois. Plusieurs branches de sa famille sont originaires de l’Auxois, où il est revenu habiter.
François RAYMOND est architecte DPLG et urbaniste SFU. Outre une implication dans les grands enjeux du développement urbain, son activité professionnelle l’a conduit, à intervenir sur la protection et la mise en valeur du patrimoine bâti ancien, et à participer à des fouilles archéologiques en Grèce.

L’OUVRAGE
Dans ce livre sur le village de Courcelles-lès-Montbard, François RAYMOND retranscrit de façon ordonnée les archives disponibles, mémoire des lieux et des hommes de cette petite commune de l’Auxois. Il s’attache surtout à faire parler ces documents, afin de mieux comprendre la culture de l’époque et l’état d’esprit de leurs rédacteurs.
Mettant à profit son expérience professionnelle, l’auteur analyse avec délectation et humour la complexité fort ancienne des règles de l’administration publique. Il porte un regard attentif aux efforts constants de cette petite collectivité pour défendre ses intérêts, eu égard à l’extrême modestie de ses resources.
Le résultat est une approche thématique, et un ouvrage traité en autant de chapitres juxtaposés, sans recherche d’un quelconque lien chronologique. Ces facettes diverses et complémentaires d’une même réalité constituent les pièces d’un puzzle dont il manque de nombreux éléments ; mais que le lecteur sera libre d’assembler à sa convenance, en faisant appel à son imagination.

 

Disponible auprès de l’auteur (francois.raymond01@orange.fr) au prix de 30€

 
ARCHITECTES, en pays d'Auxois, au XIXième siècle

Dans cet ouvrage, l'auteur s'attache à faire revivre ces hommes de progrès qui ont contribué au développement des communes, en y construisant les équipements publics adaptés aux besoins de l'époque.
A partir des constats faits sur le terrain et des informations issues des documents d'archives, il nous raconte l'histoire de ces nombreux édifices qui encore aujourd'hui ponctuent le cœur de nos villages. Chaque construction est en effet une aventure pleine d'aléas; dont le maître d'œuvre n'est que l'un des acteurs.
Ce travail d'inventaire permet de disposer d'une vue d'ensemble sur l'activité de chacun de ces architectes qui, complétée par quelques données sur son environnement familial, constitue le préalable à une analyse raisonnée de son œuvre.
Mettant à profit son expérience professionnelle, l'auteur examine avec attention l'évolution des méthodes et des procédures au cours de ce siècle de profond changement. Il porte un regard bienveillant sur le travail de ces lointains confrères, artisans obscurs d'un patrimoine de la modestie.
L'auteur, François RAYMOND, est architecte DPLG et urbaniste SFU.
Outre une implication forte dans les grands enjeux du développement urbain, son activité professionnelle l'a conduit à intervenir pour la protection et la mise en valeur du patrimoine bâti ancien.

Disponible auprès de l’auteur (francois.raymond01@orange.fr) au prix de 35€

 
MONTBARD, par le petit bout de la lorgnette

Montbard « vu par le petit  bout de la lorgnette », ce livre dresse un inventaire de ces menus détails de la ville, porteurs modestes de sa mémoire, ou expression du désir de ses  habitants  de  personnaliser leur cadre de vie. Ce  micro-patrimoine échappe pour partie aux procédures administratives de protection. Il ne peut compter, pour sa conservation, que sur la vigilance bienveillante des différents acteurs du cadre urbain, qu’ils soient publics ou privés. Les auteurs : Gilbert BONSANS est originaire de Montbard, son esprit curieux et passionné fait de lui un fin connaisseur de sa ville. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur Montbard et son histoire. François RAYMOND est architecte et urbaniste. Son activité professionnelle l’a conduit, notamment, à intervenir pour la protection et la mise en valeur du patrimoine bâti des villes.

Prix : 25€. Se renseigner auprès de l’auteur (francois.raymond01@orange.fr)
 
LA TUILERIE DES GRANGES à Grignon, une passion familiale

Dans cet ouvrage sur la Tuilerie des Granges, à Grignon, François RAYMOND raconte l’histoire d’une aventure industrielle, dans le nord de la Côte d’Or, à partir du milieu du XIXème siècle. Il s’attache surtout à faire revivre ceux qui en furent les acteurs durant près de 150 ans.
            Deux grandes familles de tuiliers ont particulièrement marqué cette histoire : les SEBILLOTTE et les LAURENT. L’audace d’entreprendre et la passion pour un métier venu du fond des âges, depuis que l’homme sait maîtriser la terre, l’eau et le feu, tels sont les traits de caractère communs à ces générations qui se sont transmis l’excellence d’un savoir-faire.
            Aujourd’hui, animée par deux de leurs descendants, l’aventure continue. La tuilerie de Thil-la-Ville poursuit la fabrication de produits de terre cuite à l’ancienne. Le site des Granges, transformé en musée, conserve vivante la mémoire d’un métier qui fait partie de notre histoire.

Prix : 15€. Se renseigner auprès de l’auteur (francois.raymond01@orange.fr)
 
LE FRERE MAUR, MOINE ARCHITECTE, sa vie, son oeuvre

Comment un modeste charron-menuisier originaire du village de Nuits-sur-Armançon, en Bourgogne, a pu devenir architecte, et réaliser, en cette seconde moitié du XIXe siècle, une œuvre aussi aboutie ?

            C’est pour tenter de répondre à cette question que François RAYMOND a cherché à retracer le parcourt de cet autodidacte : son voyage en Italie au côté du Père Muard fondateur du monastère de la Pierre-qui-Vire, son engagement dans la vie monastique qu’il parvint à concilier avec une activité d’architecte certes épuisante, ses chantiers étant souvent fort éloignés. Le Frère Maur nous a laissé des réalisations riches de créativité, mais qui souffrent du discrédit qui s’attache à l’art néogothique de cette fin de siècle. Religieux respectueux de la règle d’humilité dictée par Saint-Benoît, le Frère Maur n’a jamais revendiqué la paternité de ses œuvres. Ce livre tente de réparer cet anonymat qui avait fait tomber leur auteur dans l’oubli.

Il est en vente à la librairie « La Procure » angle rue Mézières, rue Napoléon Paris 6ème, au prix de 25€

 
Hector CARRE, Le destin tragique d'un médecin montbardois

L’OUVRAGE
Pourquoi diable un médecin montbardois est-il venu se faire enterrer dans la solitude du plateau dominant Viserny ? Pourquoi sur la pyramide qui couronne son monument funéraire figure le prénom d’Hector, alors que pour l’état civil de son village natal, Saint-Rémy, il se prénomme Jean-Baptiste ? Pourquoi enfin sa ville d’adoption, Montbard, où il fut médecin, et où il se dévoua comme élu municipal durant plusieurs mandats, semble vouloir ignorer son existence ?
Les auteurs de ce livre apportent des réponses à ces questions, et tentent de dresser le portrait de ce personnage attachant mais peu banal, témoin engagé, tourmenté par les remous qui ont agité son siècle.

LES AUTEURS
Claire DUC, fortement impliquée dans la municipalité de Viserny, s’était de longue date intéressée à cette «célébrité» locale. François RAYMOND est lui aussi passionné d’histoire. Il souhaitait élucider le mystère de cette tombe en pleine nature. Leur travail commun fait revivre sous nos yeux la société de la deuxième moitié du XIXe siècle, profondément agitée par les idées nouvelles, et toujours empreinte de romantisme

Prix : 20€. Se renseigner auprès de l’auteur (francois.raymond01@orange.fr)
 
CES TOMBES QUI NOUS PARLENT

François RAYMOND vient de publier en collaboration avec Gilbert BONSANS, un livre dont le titre est : « Ces tombes qui nous parlent ».
   Les épitaphes figurant sur les tombes des cimetières anciens, si l’on prend le temps de les déchiffrer, nous livrent des secrets émouvants. Ces inscriptions sont comme les pièces d’un puzzle. Elles écrivent par petites touches l’histoire d’une communauté de vie. Une histoire intime, écrite par les habitants eux-mêmes, en quelque sorte.

Ce livre de 144 pages, largement illustré, restitue une histoire originale de Montbard au XIXe siècle, au travers d’acteurs souvent oubliés.
L’ouvrage est disponible (prix: 20 euros) à Montbard à la Librairie Solexia, et à l’Office de tourisme
 
Evelyne TAVERNIER, Gerco 852
Les gens de Flavigny-sur-Ozerain au XVIII° siècle
à travers les registres paroissiaux

"Les recherches généalogiques effectuées dans la constitution de mon arbre généalogique m’ont conduite jusqu’à Flavigny-sur-Ozerain et ses registres paroissiaux, à la fin du XVIIe et tout au long du XVIIIe siècle. Or, feuilleter attentivement ces registres (consultables aux archives départementales de la Côte d’Or et accessibles par Internet sur le site de ce service) permet de découvrir une quantité importante d’informations plus générales sur la vie la mort, les mœurs des gens de ce village sous l’Ancien Régime.
Retrouver ses racines pour tenter de comprendre d’où l’on vient, est un besoin très en vogue de nos jours, si l’on en juge par l’essor actuel de la généalogie, voire de la psycho-généalogie. Transmettre ses propres connaissances est aussi un devoir de mémoire, pour les générations futures.

C’est pourquoi j’ai voulu, modestement, apporter ma contribution à l’histoire, encore peu explorée de cette paroisse bourguignonne en rassemblant mes observations en matière de démographie historique : mortalité, natalité, nuptialité, endogamie et exogamie, sociale, professionnelle, géographique… mais aussi tenter d’aborder l’histoire de quelques familles repérées dans ces registres.
En matière d’exogamie géographique il conviendra, comme le fait remarquer Jeremy Hayhoe dans son étude, de ne pas tirer de conclusions trop générales pour évaluer la mobilité de la population du village dans son ensemble. Il estime que « les distances dans les mariages sont en moyenne en Bourgogne bien plus courtes que les distances de déplacements en général » et que « l’exogamie est donc un mauvais indicateur de la mobilité ». En effet, l’étude de ce phénomène à travers les actes contenus dans les registres paroissiaux ne montre pas la mobilité des célibataires (souvent professionnelle) ou celle des personnes âgées, dont on le sait, beaucoup se déplaçaient pour divers motifs (par exemple pour rejoindre un membre de leur famille susceptible de les prendre en charge durant leur fin de vie).
Enfin, les actes de mariages donnent la plupart du temps le lieu de résidence des conjoints au moment de celui-ci mais indiquent plus rarement des déplacements antérieurs et pas du tout les départs ultérieurs à l’évènement.

 

Le livre est en vente  à la boutique des "anis de Flavigny"  à la maison des arts textiles et du design (rue Lacordaire) et à l'échoppe de Flavigny : l'épicerie du village au prix de 8€.
Le livre de Mme Tavernier est disponible chez l'auteur à l'adresse mail : tavernier.eve@orange.fr